Bouffe moi la ch*tte
Une initiation artistique où l’odeur de la peinture se mêle au parfum du pouvoir – et du plaisir.
Dans Bouffe moi la ch*tte, Léa, professeure de littérature, rencontre Victoria, photographe provocatrice. Entre les murs d’une galerie parisienne, la caméra devient miroir ; la soumission, un manifeste ; et chaque baiser, un coup de pinceau sur la toile de l’âme.
Éléonore Ravel
Autrice
✒️ Bouffe moi la ch*tte
Une romance lesbienne BDSM où la beauté du corps se conjugue à la brutalité douce de la domination.
Emma* Léa* Moreau, esprits et corps strictement ordonnés, trouve chez Victoria Laurent, artiste flamboyante, une invitation à tout renverser. Victoria photographie la soumission comme un tableau vivant ; son objectif dénude, sa voix ordonne, ses gestes délivrent.
Sous la lumière crue du studio puis l’ombre feutrée d’un cabinet privé, Léa cède. D’abord pour l’art, ensuite pour elle-même. Chaque pose liée met à nu un désir ignoré ; chaque ordre murmuré fracture une croyance. Mais qui, de la muse ou de la maîtresse, dirige vraiment la scène ?
🔞 Avertissement : Roman pour adultes – scènes explicites F/F, langage cru, dynamique dominant/soumise consentie.
Éditeur
: livre-erotique.com
Longueur
: 195 pages
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Elle cherchait l’inspiration académique. Elle a trouvé une initiation totale.
Léa Moreau, brillante professeure à la Sorbonne, mène une vie parfaitement ordonnée jusqu’à sa rencontre avec Victoria Laurent lors d’un vernissage. Artiste rebelle, Victoria capture la beauté de la soumission à travers son objectif.
« La soumission n’est pas une faiblesse, mais la plus pure des libertés. »
Quand Victoria invite Léa dans son mystérieux espace sous la galerie, les barrières de la professeure s’effondrent. Le jour, Léa brille dans les amphithéâtres. La nuit, elle s’abandonne à des rites où la langue remplace le pinceau, où chaque mot cru devient une couleur sur la palette du désir.
Mais Victoria voit-elle en Léa une simple conquête ? Ou l’élève-t-elle vers un art encore inexploré ? Entre exposition scandaleuse et passion charnelle, Léa apprendra que parfois, c’est dans les chaînes choisies que l’on trouve la plus grande des libertés.
Bouffe moi la ch*tte explore la quête d’authenticité, le courage d’aimer sans masque et l’alchimie entre création artistique et extase sensorielle.
